Crée en 2019 à Lyon, le masque Airxôm a été fondé sur 2 constats : la pollution atmosphérique et la nécessité de protection virale en bactérienne. C’est dans cette optique que l’enterprise a dévoilé le premier masque capable de détruire virus, bactéries et composants organiques volatiles. En effet, en France, 20% de la population souffre d’allergies respiratoires, et des millions de personnes sont atteintes de pathologies respiratoires, telle que l’asthme.
AIRXÔM comme protection respiratoire
La solution actuelle la plus répandue pour répondre à l’ensemble de ces problèmes est le masque chirurgical. Adopté en masse depuis le début de la pandémie afin de freiner la propagation, il présente des limites évidentes : non réutilisable, non efficace à 100%, il ne constitue qu’une première barrière qui ne désactive ni bactéries, ni virus, ni composés organiques volatils (COV).
C’est dans ce contexte et pour répondre à ces impératifs grandissants qu’AIRXÔM lance le premier masque actif de protection respiratoire, la seule solution durable qui :
- filtre et détruit les micro et nanoparticules,
- apporte une protection totale contre les virus (dont le SARS COV 2), les bactéries et les composés organiques volatiles (NOX, monoxyde d’azote, toluène, benzène…),
- offre la meilleure combinaison protection / respirabilité à l’utilisateur,
- propose un système de consigne et de recyclage strict.
Ces performances sont obtenues grâce à l’action conjuguée de 2 filtres intégrés au masque :
- 1 filtre photocatalytique associant fibre optique et dioxyde de titane, il est activé par une LED émettant des UVA,
- 1 filtre actif auto-décontaminant polyéthylène non-tissé incorporant des particules de cuivre aux propriétés virucide et bactéricide.
Comment le masque est-il produit et recyclé ?
Soucieuse de l’environnement, AIRXÔM s’engage à produire au plus près des marchés dans lesquels les masques sont commercialisés :
- Europe : production en France (région Auvergne-Rhône-Alpes) ;
- Afrique : production en Tunisie ;
- Asie : production en Thaïlande.
Grâce à un programme de consignation, AIRXÔM recycle l’ensemble des éléments récupérables pour la production de masques au profit de personnes à faibles niveaux de revenus.
Une vision très ambitieuse
Il y a quelques semaines, Business France annonçait qu’AIRXÔM faisait partie des 20 start-ups lauréates invitées à participer à l’édition 2022 du CES sous le pavillon FrenchTech, du 5 au 8 janvier prochains.
C’est donc depuis le CES que la medtech AIRXÔM dévoilera des objectifs ambitieux, à la mesure des problèmes de santé qu’elle entend solutionner, soit d‘ici 5 ans :
- Plus de 100 000 masques vendus chaque année dans le monde à compter de la 5ème année de lancement,
- 150 recrutements en région Lyonnaise,
- 50 millions d’euros de chiffre d’affaires grâce à des ventes en France, en Europe, aux USA et en Asie.